Publié le 25 Avril 2020

du 16 avril au 30 avril 2020

 

Ils arrivent, ils repartent !

 

L'activité du port de commerce de Lorient continue malgré le confinement.

Le 16 avril, les remorqueurs ont dû aider trois cargos.

Quelques  rares promeneurs ont peut-être vu le départ de FEHN LYRA en fin de matinée. Il est allé se mettre à l'ancre dans les courreaux après être resté 6 jours à quai, le temps de décharger les 3300 tonnes de colza russe qu'il transportait.

Déchargement à Kergroise (photo d'archives : Maryl photos)

 

LITA arrivé le 13 avril avec du tournesol ukrainien a vu arriver LAPIS et WESTEWIND. Il est reparti le 18 avril à 14 h 30 (cap sur la Lettonie où il est attendu le 23 avril)

LAPIS (153 m; immatriculé au Panama) qui apporte du tournesol (21880 tonnes) chargé à Constanta (Roumanie) a accosté vers 12 h30.

WESTEWIND (89 m., pavillon néerlandais), parti de Rotterdam s'est amarré à15 h 35. Dans ses cales, 2750 tonnes de calcaire marin : une cargaison vite déchargée. Il est reparti dès le 17 avril en direction des Pays-Bas.

 

17 avril

UNISPIRIT (132 mètres)attend  à l'ancre dans les courreaux depuis le 17 avril à 9 h avec 6180 tonnes de soja .

21 avril :

LAPIS toujours à quai. UNISPIRIT toujours dans les courreaux

Arrivée du tanker FEO SWAN (100 m., pavillon maltais) depuis le 20 avril à 23 heures 24. Il vient de Brest et livre 1600 tonnes d'EHMV (biocarburants). Il repartira à 15 h 10 (cap à l'ouest).

Arrivée de MACHITIS (148 mètres ; Bahamas) avec 12220 tonnes de tournesol en provenance de Kherston (UKRAINE).

MACHITIS à Lorient-Kergroise (image d'archives : Maryl photo)

23 avril

4000 tonnes de gazole arrivent dans les soutes de SKUTEVIKEN (130 m., pavillon français). Parti le 22 avril de La Pallice, il s'est amarré le 23 avril à 5 h 41. Il a largué les amarres à 19 h  : cap sur Brest.

SKUTEVIKEN à Lorient, photo d'archives (Maryl photos)

A 20 heures, on a vu arriver LISA LEHMANN (90 m, Antigua Barbuda) qui arrive de Belfast et qui s'est amarré en face de Pen Mané. Il va charger 2300 tonnes de bois broyé à destination de la suède (Södertälje)

24 avril

UNISPIRIT toujours à l'ancre dans les courreaux

4 bateaux à quai :

LISA LEHMANN, MACHITIS, LITA ....

et le pétrolier SANDVIKEN (130 m, France) qui a accosté à 6 h 17 avec11000 tonnes d'hydrocarbures.

 

25 avril

départ de SANDVIKEN à 13 h 30. Cap sur Donges.

 

27 avril

4 bateaux à quai ce matin :

LISA LEHMANN, MACHITIS, LITA ....

8 heures : arrivée du tanker CAROLINE THERESA (101 m., pavillon danois).

en provenance de La Rochelle avec 2039 tonnes d'huile.

à 14 h LAPIS à quai depuis le 16 avril a largué les amarres. Il fait route vers RIGA (Lettonie) où il est attendu le 2 mai.

UNISPIRIT, à l'ancre dans les courreaux depuis le 17 avril, est venu s'amarrer à Kergroise à 15 h. pour décharger 6 180 tonnes de tourteaux de soja. Départ programmé le 30 avril.

MACHITIS est parti à 19 h 20 et LISA LEHMANN s'en est allé peu après 21 heures, avec sa cargaison de bois broyé destiné à la Suède.

ce soir, il ne reste qu'un bateau !

 

30 avril

du gazole !

ELANDRA BALTIC   (183 m. ïles Marshall) en prove,nance de la Rochelle, s'est amarré ce jeudi 30 avril à 22 heures. Il attendait à l'ancre dans les courreaux depuis 10 h 41. Il apporte 15 000 tonnes de gazole.

Pour voir l'activité du port en début de mois :

Voir les commentaires

Rédigé par Marylis Costevec

Publié dans #vie locale

Repost0

Publié le 25 Avril 2020

à votre santé !
Inviter grand-papa, on ne peut pas...
Recevoir les amis, c'est interdit... !
Le préfet a dit : pas de whisky
pas de vodka, pas de calva,

(...)

Alors, 
que faire de tous ces verres ?

LUNDI,

pissenlits "on the rocks"

 

Mardi,

eau de vi.....olette

 

MERCREDI,
liqueur de pâquerettes

 

JEUDI,
un peu de jaune, peut-être  ?

(Attention, c'est toxique !)

 

VENDREDI,
jacinthe des bois,
pourquoi pas ?

(Non, non, non, c'est toxique !)

 

SAMEDI

 trèfle rouge ... pour la route.

 

Et pour DIMANCHE ?

cocktail à volonté !!!

 

GRES MAT...

Voir les commentaires

Rédigé par Marylis Costevec

Publié dans #confinement

Repost0

Publié le 21 Avril 2020

Nous vous avons déjà parlé des foires aux cochons qui se tenaient à Locmiquélic. La première eut lieu le 21 avril 1906 et s'est maintenue à cette date jusque dans les années 50. Il y en eut une autre, en octobre, ,mais on ne connait pas précisément la date de la première (1910 attestée) ni de la dernière (voir le N° 8 de "C'était hier...").

foire de Pâques : Lorient , début du XXème siècle. coll part.

Nous avons longtemps cru que c'était toujours sur le champ de foire que les Minahouets se procuraient le petit cochon qu'ils engraissaient dans l'appentis ou l'"écurie " au fond du jardin. Le champ de foire était une place fermée qu'on appelait aussi la Muse ou la leur et qui se situait en haut de l'actuelle rue de la Résistance

Les lieux ont beaucoup changé. Ce qui était un espace clos s'ouvre désormais et descend jusqu'à la côte. Cependant,la largeur de cette rue à proximité de la grande Rue permet d'imaginer aisément l'aspect des lieux par le passé. Il reste même des petites maisons d'époque.

Et puis..., on tombe par hasard (?), sur un entrefilet dans la presse qui annonce qu'en 1939, c'est près de l'école que les éleveurs des environs sont arrivés avec leurs chars à bancs, leurs tombereaux et leurs "kawidellou"* pour présenter leurs porcelets aux Minahouets :

d'après le Nouvelliste du 19 avril 1939.

d'après le Nouvelliste du 19 avril 1939.

Nous avons un peu creusé la question et nous pouvons assurer que c'est encore sur la nouvelle place située entre l'école et la mairie qu'elle eut lieu le lundi 22 avril 1940 (d'après Le Nouvelliste du 16 /04/ 1940).

Nous ne savons pas, pour l'instant, s'il y eut une foire en 41* et en 42. L'occupant était installé à l'école et sur la place, ils avaient fixé des ballons d'observation qu'on appelait des ... saucisses. Mais il n'est pas impossible que les cochons se soient à nouveau vendus sur la Muse.

En tout cas, c'est à son ancien emplacement que la foire se tint après guerre (Certains s'en souviennent encore). C'est une cité de baraques qui se trouvait alors sur la place attenante à l'école.

plan des lieux après guerre (archives municipales)

 

*kawidell = cage

* la foire de Lorient a bien eu lieu à Pâques 1941.

Voir les commentaires

Rédigé par Marylis Costevec

Repost0

Publié le 12 Avril 2020

La semaine sainte

 

Jeudi-Saint : les cloches se sont tues.

Depuis le 17 mars, on les entendait beaucoup mieux avec la circulation qui s'était réduite dans les rues de la ville. Alors, jusqu'à samedi soir, le silence a été encore plus profond.

Et, ce samedi, à 22 heures, lorsqu'elles se sont mises à carillonner pendant la veillée pascale, beaucoup de Minahouets se sont posé des questions :

" Mais pourquoi les cloches résonnent-elles à cette heure- là ?"

Photo Evelyne Le Formal

Une veillée pascale que les chrétiens assidus ont dû suivre sur la chaîne you-tube du diocèse, tous les offices ayant été supprimés dans l'église paroissiale pour éviter la contagion.
Elles ont sonné à nouveau dimanche, mais cette année, les paroissiens ne se sont pas  rassemblés dans les églises. Ils ont pu suivre la messe sur leur écran, soit celle célébrée par l'évêque à 10 heures 30*, soit celle célébrée par le pape François à 10 heures en la basilique Saint-Pierre de Rome d'où il a adressé son message aux catholiques.  La place Saint-Pierre est restée vide.

*https://www.vannes.catholique.fr/vivez-tous-les-offices-de-la-semaine-sainte/

La chasse aux oeufs

Cette année, pas de grande chasse aux oeufs pour le dimanche de Pâques. Les cloches ont semé les friandises dans les jardins privés et exceptionnellement,  les ont dissimulées dans les appartements :  une activité bienvenue dans ces temps où il faut faire preuve d'imagination pour occuper les plus jeunes.

Dans "Le Télégramme" du 13 avril, Steven Le Roy nous raconte ce grand moment de détente bienvenue  :

"Des bosses de rire en trouvant les oeufs pralinés dans les slips, du suspense à son comble en ouvrant la trappe de la baignoire, de l'aventure en rampant sous les lits ..."

On a dû renoncer aux repas traditionnels qui rassemblaient la famille élargie à la maison ou au restaurant.

Vivement les retrouvailles en espérant que personne ne manque à l'appel.

N'hésitez pas à nous raconter comment cela s'est passé chez vous pour que nous puissions compléter cet article !
Nous voulons bien des photos !

 

Merci !

Une carte au parfum suranné qui circulait en 1920.

Voir les commentaires

Rédigé par Marylis Costevec

Repost0

Publié le 11 Avril 2020

Vous restez chez vous mais dehors, la vie continue ... au ralenti.

Les Minahouets qui sortent le chien ou font quelques exercices, ceux dont les fenêtres s'ouvrent sur la rade de Lorient constatent que le port de Kergroise continue à recevoir les bateaux.

Ils ont vu à quai des pétroliers, des petits cargos décharger du ciment. On a reçu de la mélasse le 3 avril. Ces bateaux ne sont pas restés longtemps à quai.

Impossible cependant de ne pas remarquer la masse imposante de CEPHEUS OCEAN (229 m. ; pavillon panaméen) qui y est resté 12 jours, le temps de décharger les 66 882 tonnes de soja qu'il transportait. Parti du Brésil le 14 mars, il accostait à Lorient le 29 mars après 15 jours de navigation. Le départ était prévu le 7 avril puis le 10 avril.

 

CEPHEUS OCEAN à Kergroise (LORIENT) le 9 avril 2020. (photo R.M.)

CEPHEUS OCEAN a finalement largué les amarres  le 11 avril au matin. Il navigue en direction de Newport où il est attendu le 21 avril.

Les quais de Kergroise ne sont pas restés longtemps inoccupés.

Dès 9 heures, FEHN LYRA (90 mètres, immatriculé en Lettonie) s'amarrait. Il s'apprête à décharger 3300 tonnes de colza en provenance Svetly, port de Russie qu'il avait quitté le 4 avril.

Il a été rejoint le 13 avril au soir par LITA (148 m, pavillon du Libéria) qui va décharger 12537 tonnes de tournesol en provenance d'UKRAINE (port de Nikolaïev) qu'il a quitté le 30 mars.

Des bateaux transportant du tournesol  roumain et des calcaires marins ainsi que des carburants sont attendus dans la semaine

 

Voir les commentaires

Rédigé par Marylis Costevec

Publié dans #vie locale

Repost0

Publié le 11 Avril 2020

Cet article est reposté depuis Le petit blog de Framboise.

Voir les commentaires

Rédigé par Françoise

Publié dans #flore et faune, #santé, #remèdes

Repost0

Publié le 10 Avril 2020

Quand on fait de l'histoire, il ne faut jamais désespérer !

Aujourd'hui, 10 avril 2020, nous trouvons la réponse à une question qui nous taraudait depuis plusieurs années.

En 2015*, nous écrivions l'histoire rocambolesque de la première municipalité de Locmiquélic, élue le 30 novembre 1919 remise en question le 22 décembre, les élections ayant été invalidées (il y avait 2 conseillers de trop)

Nous racontions comment cette municipalité avait, malgré tout, dû gérer les affaires de la toute nouvelle commune avant de démissionner en bloc le 19 janvier 1920.

Malgré cette démission, on voit les élus continuer à prendre des décisions et surprise, le 6 mars, le préfet déclare "bonnes et valables les élections du 30 novembre 1919". Le maire, Jean-Louis Danic et ses conseillers restent donc en fonctions.

Alors, lorsque nous avons lu dans "Le Nouvelliste" du 4 avril 1920, que le préfet acceptait la démission de Jean-Louis Danic, nous nous sommes posé de nombreuses questions.

Nous avions bien imaginé que le premier édile de la commune avait envoyé une nouvelle lettre de démission personnelle après le 6 mars mais nous n'en trouvions mention nulle part.

Et aujourd'hui, bingo ! nous trouvons un entrefilet dans "le courrier de Pontivy et de son arrondissement" du 11 avril 1920 :

 

 

Et bien voilà ! Nous avons résolu une partie de l'énigme !

Alors qui sait ? un jour peut-être, on découvrira pourquoi Jean-Louis Danic avait définitivement renoncé à son fauteuil !

Nous vous tiendrons au courant ! C'est promis !

La suite du feuilleton ...

Voilà donc notre commune (qui vient tout juste d'être créée) sans maire.

Qu'allait-il se passer ?

Voilà encore une info que nous découvrons dans le Nouvelliste de Bretagne du 12 avril 1920 :

"Vendredi 8, le conseil municipal s'est réuni. A l'unanimité, les conseillers ont décidé d'offrir la charge de maire à M. Jean-Louis Dréanno, ancien second-maître voilier de la marine, en retraite à Kerderff. L'honorable élu ayant refusé de ceindre l'écharpe à glands d'or, le conseil municipal a démissionné en bloc".

BNF gallica

Nouvelle impasse !

La suite ? vous la connaissez si vous vous êtes procuré notre publication spéciale :

 

*CHL, Du service de la Nation au service de la commune, Jean-Louis Danic (1859-1936), 1er maire de Locmiquélic, C'était hier, édition spéciale N° 2, décembre 2015, pages 51-55. (disponible par correspondance, nous contacter)

Voir les commentaires

Rédigé par Marylis Costevec

Publié dans #vie de l'association, #histoire, #Locmiquélic

Repost0

Publié le 8 Avril 2020

Ce n'était pas un poisson d'avril mais une sacrée découverte pour la plupart des Minahouets qui participaient à une réunion de la Société Amicale des Anciens Elèves de l'Ecole des Garçons de Locmiquélic.

Les membres et leurs invités ont pu écouter les sons d'un graphophone, une demi-heure durant. C'est ce qu'on apprend en relisant la République du Morbihan du 8 avril 1900.

Mais qu'est-ce donc que cet objet ?

C'est un appareil qui permet de restituer des sons enregistrés sur un cylindre réalisé d'abord en étain puis en carton enduit de cire. Le procédé a été imaginé par Alexander Graham Bell et son cousin Charles Summer Tainter entre 1885 et 1887.

graphophone, (BNF gallica, coll. Charles Cros)

Il a été commercialisé en 1888 sous la marque Columbia mais ne sera plus fabriqué après 1890. En effet, Edison, qui avait inventé le phonographe en 1877, sort le class M, un nouveau modèle plus performant que le graphophone.*

phonographe à cylindre Edison Class M (BNF gallica, coll. Charles Cros).

Il est bien dommage que le journal ne précise pas la nature des enregistrements écoutés ce jour-là.

On apprend cependant qu'en ce dimanche soir, les participants ont bénéficié d'une conférence d'Alexandre Georgeault, leur ancien maître. Il leur a parlé des Devoirs du Citoyen dans une République. "Ils l'ont écouté dans un silence recueilli et l'ont beaucoup applaudi."

Ce fut l'occasion d'entonner des chants patriotiques et de réciter quelques 'charmants monologues'...

Sources :

- La République du Morbihan, 8 avril 1900.

- blog BNF :

http://blog.bnf.fr/voix/index.php/2009/03/16/les-inventeurs-alexander-graham-bell/#more-228

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9636906j/f9.image.texteImage

 

Voir les commentaires

Rédigé par Marylis Costevec

Publié dans #objets oubliés ou presque

Repost0

Publié le 7 Avril 2020

Petite revue de presse locale :

 

Crac'h, le temps de l'accalmie :

On savait depuis le 1er mars que le secteur d’Auray était premier cluster breton mais on ignorait précisément comment l’épidémie s’y était développée.

Le journaliste d’Ouest-France interroge les médecins de Crach, Christian Morigny et Isabelle Ezanno. On apprend ainsi que les premiers cas seraient apparus dès la mi-février. Des patients présentaient des symptômes bizarres, comme une grippe qui n’en finissait pas. Plusieurs personnes sont hospitalisées en réanimation et le 1er mars, on apprend que l’un d’eux est atteint du COVID 19. Le 2 mars, la préfecture prévient le maire que plusieurs habitants de sa commune sont infectés.

Et aujourd’hui ?

On a dénombré des dizaines de malades et 5 décès à Crach.

Les mesures de distanciation sociale préconisées dès le début du mois semblent avoir été efficaces. Depuis plusieurs jours, les deux docteurs n’ont pas vu de nouveaux cas dans leurs cabinets et le dernier était un résident secondaire qui n’avait vraisemblablement pas été contaminé à Crach. L’espoir est là, un peu terni par les cas qui continuent à se déclarer dans le Morbihan (. En effet, le confinement dans les communes extérieures au cluster n’est effectif que depuis le 17 mars comme dans toute la France.

Yanis Roussel

Ouest-France titre aussi sur la médiatisation des travaux du professeur Raoult qui teste massivement les malades marseillais et leur administre un traitement associant de l’hydrochloroquine et un antibiotique,l’azithromycine. C’est un jeune vannetais Yanis Roussel, 24 ans, qui a pris en charge la communication de la structure pour décharger les médecins très sollicités. Titulaire d’un master en politique européenne, ill prépare, entre autres missions, une thèse sur l’histoire de la recherche médicale, au sein de l’IHU Méditerranée Infection (Institut Hospitalo-Universitaire) sous la direction du professeur Raoult.

… L’hotellerie-restauration dans le dur

C’est le titre du Télégramme qui a enquêté auprès de restaurateurs de Saint-Brieuc, Brest et Vannes, très inquiets pour leur activité. Ils ont dû fermer boutique le 14 mars et mettre  leur personnel au chômage technique. Le manque à gagner pendant la période pascale sera lourde de conséquences Ils craignent que les plus fragiles ne survivent pas

Ils attendent que le gouvernement décrète un état de catastrophe sanitaire majeur pour pouvoir obtenir des indemnisations de leurs assurances

… et de la soul pour garder le moral :

9 titres de soul sélectionnés par Guy Darol, musicologue breton.

Le point sur la situation donné par la préfecture  :

 
[Coronavirus - Covid19]
Point de situation en Bretagne au 7 avril 2020

Au 7 avril, les données concernant l'épidémie de Coronavirus en Bretagne sont les suivantes :

Prise en charge des patients Covid-19 à l’hôpital en Bretagne actuellement

135 en service de réanimation (- 3 en 24h)
265 en hospitalisation conventionnelle (-13)
54 en soins de suite et réadaptation (+7)
324 retours à domicile (+30)
5 en psychiatrie (-)
1 en urgence (-)

Dans le cadre des prises en charge hospitalière, 95 décès (55 à 100 ans) sont à déplorer depuis le début de l’épidémie (+8 en 24h).

Point de situation EHPAD

48 EHPAD ont signalé au moins 1 cas confirmé testé par PCR
35 décès de résidents sont à déplorer.

Les indicateurs présentés sont issus des données depuis l’outil de surveillance Santé publique France, qui est opérationnel pour les Ehpad depuis fin mars 2020. Les décès signalés COVID 19 le sont dès lors qu’un EHPAD a signalé au moins un cas suspecté d’être infecté par le SARS-CoV-2 survenu dans l’établissement. Ils cumulent donc des résidents testés COVID 19 et des résidents jugés cas possibles car présentant des signes cliniques COVID 19.

Le nombre de cas de Coronavirus Covid-19 confirmés en Bretagne par diagnostic biologique (PCR) depuis le 28 février est de 1414 (+46) ainsi répartis :

· 452 (+14) personnes résidant dans le Morbihan ;

· 324 (+12) personnes résidant en Ille-et-Vilaine ;

· 314 (+6) personnes résidant dans le Finistère ;

· 182 (+4) personnes résidant dans les Côtes d’Armor.

auxquels s’ajoutent :

· 88 (+ 13) personnes ne résidant pas en Bretagne ;

· 54 personnes (-3), qui ont fait l’objet de prélèvements biologiques dans les centres hospitaliers de Lorient, Morlaix, Pontivy, Saint-Malo, Rennes, Brest ou Quimper mais dont les départements de résidence ne sont actuellement pas encore connus.

Plus d'infos > http://www.prefectures-regions.gouv.fr/bretagne/Actualites/Coronavirus-informations-recommandations-et-mesures-sanitaires

Voir les commentaires

Rédigé par Marylis Costevec

Repost0

Publié le 6 Avril 2020

Cet article est reposté depuis une source devenue inaccessible.

Voir les commentaires

Rédigé par Nicolas FICHOT Voiles et Voiliers

Repost0